• La trinité, doit-on y croire?

    Petite parenthèse personnelle : Depuis ma rencontre personnelle avec Dieu, l’expérience spirituelle que j’ai vécue ne m’a jamais exposée à une éventualité de « trois personnes » qui représenteraient Dieu.

    Ce n’est que lorsque je me suis rendue compte que beaucoup (pas tous, je le précise) ne savaient à qui s’adresser en priant, que j’ai eu la tristesse de voir qu’une rencontre personnelle, ou une recherche personnelle approfondie manquait dans leur vie spirituelle et que la religion prenait place (sans but mauvais et en toute bonne foi, je le précise) et que ces personnes ne connaissaient donc pas à qui elles avaient à faire, en somme. Elles se sont donc misent à « pratiquer » des rituels en bons chrétiens et toute bonne foi aussi.

     - {Attention, je ne blâme personne, car je suis certaine que beaucoup sont sincères et que le Seigneur les éclairera si ces personnes le veulent, et l’acceptent. (Ayant moi la première été ignorante de bien des choses et surement j’ai encore bien d’autres choses à apprendre et à découvrir, tellement la richesse de Dieu est  immense!). Mais devrais-je me taire ou partager mon expérience dans la parole de Dieu, ce qui m’a donc été révélé et confirmé par les écrits, non pas seulement ceux des traductions Bibliques, mais également des textes originaux. (Et je ne suis pas si « calée » que cela, ni professeur de lettres, mais notre Dieu ne nous dit-il pas : « cherchez et vous trouverez…Frappez et l’on vous ouvrira ».  C’est ce que je fais toujours et dans toutes choses.} -

    Je crois sincèrement que lors de l’étude de la Parole de Dieu, la pensée hébraïque qui est nécessaire pour obtenir les révélations qui sont destinées sur un sujet précis, (se replacer dans le contexte de l’époque), à un moment précis, et dans une situation précise, entre en conflit avec la pensée rationnelle « grecque » qui elle veut et doit tout comprendre.

    (Et je précise en demandant au Père céleste, que son Esprit nous conduise dans la toute la Vérité et la découverte que nous voulons recevoir de sa part, et les réponses à nos questions, ceci au nom de Jésus-Christ, Yéchoua Ha' Machiah).

    Aujourd’hui je suis convaincue que les promoteurs de l’église des premiers siècles de l’ère chrétienne ont été poussés, du fait de leur non observation des commandements de Dieu et cette vague d’antijudaïsme, à développer des théories sur la pluralité de Dieu, en appelant également aux croyances païennes dont ils étaient issus pour imposer leur domination, et, par de là le fait de nouveau phénomène spirituel naissant donnèrent alors de fausses directions. La théologie de la trinité de Dieu est une des plus connues de ces fausses cibles. (je vous donnerai plus de précisions à ce sujet plus loin).

    Je me suis penchée sur le fait suivant : Cette pensée hébraïque tire bien son origine d’Abraham l’hébreu, (révélateur du Dieu unique) il a eu la grâce de connaitre dix générations successives de ses aïeux et d’être contemporain de Noé pendant plus de 50 ans. Noé lui-même avait connu 7 de ses ascendants jusqu’à Enoch, petit fils d’Adam qui quant à lui avait rencontré le Créateur. (Abraham descendant de Shem, Shem, nom de l’Eternel,  dont la valeur du mot est égale à la valeur du mot « rejeton » (Esaïe11). Dieu l’appela pour que nous puissions avoir part au Royaume de Dieu par Jésus-Christ, Yéchoua.)

    Peut-on s’imaginer la richesse des conversations de ces générations et la multitude d’informations qu’elles pouvaient drainer sur la création et le Créateur ?

    Jésus-Christ, Yéchoua a lui-même confirmé qu’il avait rencontré Abraham. (Evangile selon Jean 8)

    Cette mémoire collective vivante est restée orale jusqu’à Moïse, à qui Dieu demanda d’écrire sa Parole.

    Cette pensée hébraïque fut dictée à Moïse et elle se répète trois fois par jour toute la vie du pratiquant de la Parole de sa naissance à sa mort : « Shema Israël Adonaï Eloheinou, Adonaï e’hard, », phrase comportant des singuliers et des pluriels à la fois et proclamant l’unité de Dieu.  

    DEUTERONOME 6V4 : Ecoute, Isarël ! l’Eternel, notre Dieu, est le seul Eternel. Version Segond- Écoute, Israël: L'Éternel, notre Dieu, est un seul Éternel. Version Darby.

     Jésus reprenant le premier commandement de Dieu à suivre :

    Marc 12 v 29 : Ecoute, Isarël, le Seigneur,  notre Dieu,  est l’unique Seigneur ;

    Nous devons admettre de la part du Créateur de toutes choses, des voies incompréhensibles.

    Marc 12 v 24 : N’êtes-vous pas dans l’erreur, parce que vous ne comprenez ni les Ecritures, ni la puissance de Dieu ?

    Romains 11V33 : O profondeur de la richesse, de la sagesse et de la connaissance de Dieu ! Que ses jugements sont insondables etses voies incompréhensibles !

    Jean 16 v 12 : J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant.

    A la réception de la Parole le peuple s’était engagé en disant nous ferons et nous écouterons :

    Exode 24 V7 :Il prit le livre de l’alliance et le lut au peuple ;  ils dirent : Tout ce que le Seigneur a dit, nous le ferons et nous l’écouterons.

    Ce qui l’en reflète est bien que ce que Dieu nous demande : agir inconditionnellement en faveur de ses prescriptions sans chercher à s’expliquer les intentions de Dieu qui, de toutes les façons agissent toujours en faveur de ceux qui Le cherchent.

    Voyons la deuxième des dix paroles de Dieu qui nous ordonne de ne pas se faire de représentation de Dieu d’aucune sorte, et nous pouvons et donc devons inclure les représentations intellectuelles et théologiques. (La nature humaine voulant toujours se faire une image et une explication de tout).

    Que constatons-nous des descriptions de Dieu données par nos pères dans la foi, comme Abraham, Isaac, Jacob, etc.?  : Ils n’ont fait que nous en décrire les attributs : Son Amour, Sa Grâce, Sa Justice, Sa Miséricorde, Sa Force, Son Omniprésence etc.

    Il en est de même dans la venue de Jésus-Christ, le Messie d’Israël, sa venue ne modifie pas cette acceptation des voies incompréhensibles et imprévues de Dieu.

    La notion de père et de fils doit être révisée dans sa compréhension occidentale.

    Yéchoua Ha’Machia’h est le ben Elohim, il n’y a pas là deux générations.

    La génération du père et du fils sont tous les deux : lé Holam va ed : de toute éternité. Pas de filiation physique.

    C’est Dieu incarné, venu lui-même pour sauver ses brebis. (Se faisant lui-même « fils ». (Fils pas comme la chair, pas comme notre esprit humain peut le concevoir).

    Jésus-Christ est l’essence divine, il est cet aspect de Dieu qui doit par son sacrifice pur, saint, parfait,  racheter l’humanité.

    S’il n’est pas Dieu, est-il un surhomme ? Non. Est-il un demi-dieu comme dans la mythologie grecque ? Non. S’il était un homme, comment aurait-il pu être offert en sacrifice ? Les sacrifices humains ne sont pas autorisés dans la Bible, l’histoire de Jephté et de sa fille nous l’enseigne, entre autre.

    Les premiers croyants avaient bien su reconnaitre que c’était parce que Dieu s’était manifesté dans la personne de Jésus-Christ que le monde était entré dans l’ère de grâce promise par les prophètes. Ils étaient imprégnés de la pensée hébraïque, et ont su reconnaitre les signes caractéristiques du concept juif de Messie, Oint, et Sauveur.

    Luc 7 v 20 à 22 : …….Allez rapporter à Jean ce que vous avez vu et entendu…

    Esaïe 9 v 6 : Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné. Et la domination reposera sur son épaule ; On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.

    Lorsque Jésus-Christ, (Dieu fait homme au milieu des hommes) annonçait la bonne nouvelle, il a eu besoin de montrer tous les signes pour que les hommes acceptent sa déité.

    Il fut difficile pour beaucoup d’accepter un tel phénomène spirituel.(c'est aussi le problème aujourd'hui pour beaucoup).

    Que répond Thomas qui ne croyait pas ? : Jean 20 v 27 et 28 : Puis il dit à Thomas : Avance ton doigt ici, et regarde mas mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais croyant. Thomas répondit et lui dit : Mon Seigneur et mon Dieu !

    Une notion déformée par les traductions et la conception trop rationnelle de la Parole de Dieu, est l’expression « assis » à la droite de Dieu. (Que nous comprenons, pour la plus part, comme assis physiquement, donc en chair, et non en Esprit).

    Luc 22 v 69 : Désormais le Fils de l’homme sera assis à la droite de la puissance de Dieu.

    Cela ne signifie pas que dans le ciel, il y a plusieurs trônes placés l’un à côté de l’autre. La droite, Yamin, représente lamidat’Hessed, la mesure de Grâce, et la gauche, smol, représente la midat Din, la mesure de Justice.

    Lors de la naissance du dernier fils de Jacob, Rachel mourante nomme son fils Ben Oni qui veut dire fils de ma punition, mais Jacob le nomme Ben Yamin, fils de la droite. De quelle droite s’agit-il ?

    Génèse 35 v 18 : Et comme elle allait rendre l’âme, car elle était mourante, elle lui donna le nom de Ben-Oni, mais le père l’appela Benjamin.

    Le fils de la droite représente le fils attribué par la Grâce de Dieu à Jacob. Jésus-Christ n’est pas assis physiquement à la droite de Dieu mais il occupe la position de la Grâce, il est l’attribut de la Grâce,midat'Hessed qui est rattaché au Père, tout comme les branches sont rattachées au tronc formant ensemble l’arbre. Jésus-Christ est la Grâce personnifiée.

    Tite 2 v 11 : Car la Grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée.

    La traduction non adaptée du mot grec assis, a alimenté les différents concepts de la pluralité de Dieu, mais nous ne nous y trompons pas, Jésus-Christ, Yéchoua s’exprimait en hébreu avec ses disciples. Le mot grec signifie être assis mais également demeurer, habiter. Yéchoua demeure auprès du Père tout comme la divinité du Père demeure en Yéchoua.

    Colossiens 2 v 9 : Car en lui habite toute la plénitude de déité corporellement ;

    Voici quelques autres versets Bibliques :

    Jean 10 v 38 : …..Croyez à ces œuvres, afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père est en moi et que je suis dans le Père.

    Jean 10 v 30 : Moi et le Père, nous sommes un.

    Ce qui est étonnant dans cette affirmation c’est que le « moi » est placé en premier, comme si l’un et l’autre était égaux, ce qui est le cas, il n’y a pas deux dieux !

    A un moment donné, Philippe demande à Jésus ce que nous nous demandons tous un jour ou l’autre : Jean 14 v 8 et 9 : Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit. Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu. Philippe !...

    Apocalypse de Jean : Apocalypse = Révélation. Quelle révélation ? Les premiers mots de ce livre nous le font découvrir : Apocalypse de Jean 1 v 1 : REVELATION de Jésus-Christ,….

    Et,  bien entendu, toutes les choses qui doivent arriver etc.

    Jean sur l’ile de Patmos a eu une révélation spéciale, il a rencontré son Dieu. Il a vu l’Alpha et l’Oméga, il a vu et reconnu le premier et le dernier, celui qui est vivant aux siècles des siècles, le Tout-Puissant ! Celui qui revient !

    Voyons le verset par exemple parmi tant d’autres :

    Apocalypse 20 v 6 : Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection! La seconde mort n'a point de pouvoir sur eux; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant mille ans.

    Si deux personnes régnaient, il serait bien écrit : et ils règneront avec eux pendant mille ans ! Il est inéducable que si nous sommes sacrificateurs de Dieu nous le sommes automatiquement de son Oint, partie de son identité.

    Apocalypse 21 v 3  à 7 : Et j'entendis du trône une forte voix qui disait: Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles. Et il dit: Écris; car ces paroles sont certaines et véritables. Et il me dit: C'est fait! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement. Celui qui vaincra héritera ces choses; je serai son Dieu, et il sera mon fils.

    Il a plut à Dieu de manifester sa Grâce en Jésus-Christ, Yéchoua, pour tous les hommes, qui dirigera Dieu ? Qui lui donnera des ordres ? (Rappelons-nous aussi des questions que Dieu adresse à Job).

    Dieu est venu au milieu de nous, (Emmanuel), pour nous sauver. Il annoncera des milliers d’années avant,  sa venue.

    Mais jamais Yéchoua ne divisera Dieu en trois, il rappellera tout au long de son passage terrestre,  l’unité de Dieu. Il rappellera toujours le commandement de Dieu : Ecoute Israël, l’Eternel notre Dieu est un, ou selon la version il est écrit, l’Eternel notre Dieu est le seul Eternel.

    C’est par Grâce que nous sommes sauvés.

    A notre mort, devant Dieu,  nous serons soit sous sa Grâce, soit sous sa Justice. Aucune autre échappatoire.

    Il y aussi un verset concernant le Père, le Fils et le St Esprit. Reprenons-le, il s’agit du Baptême :

    Matthieu 28 v 19 et 20 :Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. Amen !

    S’il y eu trois personnes, nous aurions ainsi écrit : aux noms (de ces trois personnes) du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

    Pourquoi le Seigneur Jésus-Christ nous a enseigné à prier ?

    Je crois que son enseignement nous amène à nous placer sous la Grâce divine. Il est le Chemin, il est venu aussi pour nous enseigner, nous guider, nous donner l’accès au trône de la Grâce, afin que nous soyons bénis. Lorsque nous prions, le Père au nom de Jésus-Christ, nous nous plaçons sous la Grâce de Dieu. Et tout ce que nous obtenons, c’est par la Grâce de Dieu que nous l’obtenons, par cette Grâce qui nous a été corporellement manifestée, Jésus-Christ. Rien ne peut être obtenu sans la Grâce de Dieu, Yéchoua.

    Il nous enseigne ce que nous devons faire, ce que nous devons avoir dans notre cœur pour que ce qu’il est lui-même venu nous donner, et bien nous puissions nous en acquérir.

    Il est la Grâce de Dieu pour nous tous, pourvu que nous ayons foi en Lui, comme Abraham, Isaac et Jacob ont eu foi en lui.

    J’imagine qu’il ne fut pas possible pour lui de dire directement au monde : Je suis Dieu !

    Sous quel nom Dieu se fait-il connaitre à Moïse ? : Exode 3 v 14 : Je suis.

    Sous quel nom Yechoua se fait-il connaître aux religieux ?

    Voici la conversation : Jean 8 V53 à 58 : Es-tu plus grand que notre père Abraham, qui est mort? Les prophètes aussi sont morts. Qui prétends-tu être? Jésus répondit: Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien. C'est mon père qui me glorifie, lui que vous dites être votre Dieu, et que vous ne connaissez pas. Pour moi, je le connais; et, si je disais que je ne le connais pas, je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais, et je garde sa parole. Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour: il l'a vu, et il s'est réjoui. Les Juifs lui dirent: Tu n'as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham! Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis.

    Y aurait-il « deux » Je suis ?

    Du temps des premiers Père de la foi, Dieu a choisi de se révélé de différentes manières, il avait choisi son peuple. (Nous voyons que tous ceux qui parlaient à l’Eternel étaient revêtus de son Esprit, et que certains aussi recevaient cette couverture de son Esprit pour un temps.)  Son Peuple ayant été aveuglé pour un temps et en partie, sa volonté fut que Sa Grâce fut accessible à toutes les nations, pour que le maximum puisse être sauvé. (Olivier franc et olivier enté).

    Tout au long de l’ancien testament, nous voyons que depuis toujours Dieu connait le cœur des hommes et qu’il prépare selon son dessein et sa volonté l’issue en son temps, car Dieu aime sa création. Il donnera donc le moyen à tous d’accepter sa Grâce et d’accepter de faire Sa Volonté.

    Pour cela il y a plusieurs choses fantastiques qui se déroulent tout au long de l’Ecriture et que personne ne peut expliquer !

    L’ânesse qui parle par exemple. Les eaux qui s’ouvrent. Les colonnes de feu qui protège le peuple. La naissance d’un homme par une vierge qui n’a eu aucune relation sexuelle. Etc. jusqu’à la résurrection de Yéchoua, et sa prochaine venue etc.

    Dans le Cantique de David, Psaume 23  :  Qui est l’Eternel ? Qui est mon Berger ?

    Esaïe 47 v 4 : Notre rédempteur, c'est celui qui s'appelle l'Éternel des armées, C'est le Saint d'Israël. – (De qui parle le prophète?)

    Esaïe 48 v 2 : …Et ils s’appuient sur le Dieu d’Israël, dont le nom est l’Eternel des armées.

    Esaïe 48 v 12 : Ecoute-moi, Jacob! Et toi Israël, que j’ai appelé ! C’est moi, moi qui suis le premier, c’est aussi moi qui suis le dernier. (Y aurait-il deux premiers et deux derniers ?)

    Esaïe 48 v 17 : Ainsi parle l’Eternel, ton rédempteur, le Saint d’Israël : Moi l’Eternel, ton Dieu, je t’instruis pour ton bien,… (qui est le Rédempteur? Qui est le Saint d'Israël?).

    Esaïe 60  v 16 : …Et tu sauras que je suis l’Eternel, ton Sauveur, Ton rédempteur, le puissant de Jacob. (Qui est le Sauveur? qui est le  Rédempteur?).

    Esaïe 9 v 5 :…On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant Père éternel, Prince de la Paix. (De qui s'agit-il?)

    Colossiens 1 versets 15 à 17 :qui est l' image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création; car par lui ont été créés toutes choses, les choses qui sont dans les cieux, et les choses qui sont sur la terre, les visibles et les invisibles, soit trônes, ou seigneuries, ou principautés, ou autorités: toutes choses ont été créés par lui et pour lui; et lui est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui; (Yéchoua n'est-il pas cette image (du Dieu invisible), l'homme ayant besoin de voir charnellement?).

    Esaïe 54 verset 5 :Car ton créateur est ton époux: L'Éternel des armées est Son nom; Et ton Rédempteur est le Saint d'Israël: Il se nomme Dieu de toute la terre; (Qui est l'Epoux?, Qui est l'Eternel des armées?, Qui est le Rédempteur?, Qui est le Saint d'Israël? Qui est le Dieu de toute la terre?)

     Evangile selon Jean chapitre 5 versets 46 et 47 : Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi; car lui a écrit de moi. Mais si vous ne croyez pas ses écrits, comment croirez-vous mes paroles?

    Jean 12 v 44 à 45 :Et Jésus s'écria et dit: Celui qui croit en moi, ne croit pas en moi, mais en celui qui m'a envoyé; et celui qui me voit, voit celui qui m'a envoyé.

    Romains 9 v 4 et 5 :qui sont Israélites, auxquels sont l'adoption, et la gloire, et les alliances, et le don de la loi, et le service divin, et les promesses; sont les pères, et desquels, selon la chair, est issus le Christ, qui est sur toutes choses Dieu béni éternellement. Amen! (Qui est Dieu béni éternellement?).

    Jérémie 31 v 31 à 34 :Voici, des jours viennent, dit l'Éternel, et j'établirai avec la maison d'Israël et avec la maison de Juda une nouvelle alliance, non selon l'alliance que je fis avec leurs pères, au jour où je les pris par la main pour les faire sortir du pays d'Égypte, mon alliance qu'ils ont rompue, quoique je les eusse épousés, dit l'Éternel. Car c'est ici l'alliance que j'établirai avec la maison d'Israël, après ces jours-là, dit l'Éternel: Je mettrai ma loi au dedans d'eux, et je l'écrirai sur leur cœur, et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple; et ils n'enseigneront plus chacun son prochain, et chacun son frère, disant: Connaissez l'Éternel; car ils me connaîtront tous, depuis le petit d'entre eux jusqu'au grand, dit l'Éternel; car je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché.

    Oui, Dieu est un, et il n'existe aucun autre Dieu.

    Soyez bénis puissament et au delà de votre recherche, si vous recherchez de tout votre coeur, au nom merveilleux de Jésus-Christ, Yéchoua !

    Celui qui me cherche de tout son coeur, dit le Seigneur,

    je me laisserai trouvé par lui ou elle !

     


  • Commentaires

    1
    LeChercheur
    Lundi 8 Septembre 2014 à 20:36
    L’INFILTRATION DE LA TRINITÉ DANS L’ÉGLISE CATHOLIQUE Tel que prophétisé, après la mort des apôtres, il s’est présenté petit à petit de faux enseignements dans les congrégations chrétiennes. On a quitté la simplicité du christianisme primitif dirigé par des anciens non rémunérés pour un clergé rémunéré qui avait délaissé la neutralité politique pour faire partie des affaires du monde. À Rome, les chrétiens étaient divisés en deux groupes. Un qui croyait à un Dieu unique et un notre qui croyait en une trinité. Au Concile de Nicée, les trinitaires l’ont emporté avec l’aide de l’intervention d’un Empereur romain païen. Il est a remarqué, que Constantin qui a commis plusieurs crimes se serait converti qu’à son lit de mort. Même s’il a imposé la trinité comme dogme du catholicisme il semble qu’il a adhéré à la croyance d’un Dieu unique à sa mort. Pourquoi a-t-il choisi la trinité? Rome faisait face à beaucoup de danger. Il ne voulait pas que les Romains soient divisés religieusement. Parmi les divinités du panthéon gréco-romaine les Romains étaient habitués d’adorer des triades de divinités, à titre d’exemple les dieux nationaux romains ; Jupiter – Mars – Quirinus qui furent remplacée par la trinité capitoline ou triade romaine Jupiter – Junon et Minerve. Celle-ci était sur le Capitole au centre religieux de Rome. Parmi les trinités païennes romaines il y avait également celle de Baal – Mithra – Astarté trois dieux égaux tout puissants et éternels. Aussi, pour attirer les païens, l’Église catholique a introduit sa propre trinité. D’abord, ce fut Dieu le père, le fils, mais la 3e personne a changé d’identité, parfois, la vierge Marie, parfois le Verbe. Après des siècles, on a adopté Dieu, le Fils et le Saint-Esprit. L’Église parle de la trinité comme le fondement du christianisme. Comment peut-elle affirmer une telle chose alors que la trinité telle que l’on connait a été si tardivement établie? La religion païenne de Rome avait coutume de fêter et d’échanger des cadeaux lors des solstices d’hiver le 25 décembre et on célébrait également les solstices d’été. Ces fêtes ont persisté, on n’a que changé les noms. On l’a remplacé par la célébration de la naissance de Jésus, Noël, et la Saint-Jean-Baptiste. Il est à noter que les premiers chrétiens ne fêtaient aucun anniversaire de naissance en raison de leurs origines païennes. Après avoir défendu l’origine chrétienne depuis des siècles, et devant l’accumulation des preuves, la papauté a finalement reconnu l’origine païenne de Noël le 22 décembre 1993 par la bouche de Jean-Paul II. Longtemps faisant partie de la doctrine catholique officielle et en particulier de l’enseignement, en avril 2007 le pape Benoît XVI a avoué que les limbes n’existent pas. Rappelons-nous dans la foulée de Vatican II (1962-1965) l’Église catholique avait reconnu qu’un certain nombre de Saints qui faisaient l’objet d’adoration n’avaient jamais existé. Ceci prouve bien que de fausses croyances se sont introduites dans l’Église catholique. Hélas, c’est connu, c’est toujours à compte-gouttes que l’Église avoue ses manquements. Bien d’autres fêtes et croyances païennes se sont christianisées ainsi. La croyance en un enfer de souffrances éternelle et en une âme immortelle, le Nouvel An par exemple qui est observé par la majorité des religions. Aussi, que viennent faire les lapins et les œufs à Pâques? Les lapins et les œufs faisaient partie des cultes de la fertilité païenne. Les Romains étaient habitués depuis des siècles de fréquenter leurs temples. Pour ne pas déroger à leur habitude, des églises catholiques ont été construites sur des emplacements de temples païens. Ainsi, la transformation s’est faite plus ou moins en douceur pour favoriser l’unité au sein de l’Empire romain. PAR LA FORCE Constantin a fait du catholicisme la religion d’État de l’Empire romain. On a fini par obliger la population de l’accepter. Pendant des siècles la politique de l’Église catholique était « ou tu crois ou tu meurs ». Peut on imaginer un seul instant Jésus et ses apôtres forcer les gens de joindre le christianisme et de persécuter et tuer les récalcitrants? Alors que Jésus disait que son royaume n’est pas de ce monde et qu’il a décliné l’offre de juifs de Jérusalem de le faire roi, alors que le les chrétiens de la première heure préféraient mourir plutôt que d’offrir l’encens aux Empereurs romains, l’Église catholique a emprunté un chemin complètement opposé. TRINITÉ: LE RÔLE DE LA PHILOSOPHIE GRECQUE L’histoire prouve de l’énorme influence des philosophes grecs et leurs dieux sur la civilisation romaine. Les Romains n’avaient aucun scrupule à adopter des dieux étrangers. Par exemple, les dieux grecs Zeus, Arès, Cronos et Éros sont devenus les dieux romains Jupiter, Mars, Saturne et Cupidon. Le culte est très semblable, seuls les noms ont changé. C’est la même pratique que l’Église catholique romaine a employée. Tout comme on a continué de fêter les solstices d’hiver du 25 décembre sous un autre nom, Noël, on a fait la même chose en changeant les noms de trinités païennes en utilisant une formule d’apparence chrétienne. Les Pères de l’Église ont délibérément marié la philosophie avec la religion. Sans doute pour gagner les philosophes païens qui étaient très admirés dans le monde antique, on a tout fait pour montrer le Christianisme dans Platon. Au 5e siècle avant J.-C., les philosophes grecs païens, Timée de Locres influencé par l’École italique dans son livre intitulé « l’Âme du Monde » et Platon dans sa théocratie tripartite mentionnent un dieu en 3 personnes. Dans cette trinité grecque, il y a en premier plan Dieu, son fils le Verbe qui est semblable à lui et l’âme (le Saint-Esprit). Beaucoup d’historiens trouvent une inquiétante similitude avec la trinité catholique romaine. « Les Pères de l’Église des quatre premiers siècles furent TOUS GREC ET PLATONIENS; vous ne trouvez pas un Romain qui ait écrit pour le christianisme, et qui ait eu la plus légère teinture de philosophie. (…) L’école d’Alexandrie, fondée par un nommé Marc, auquel succédèrent Athénagoras, Clément, Origène, fut CENTRE DE LA PHILOSOPHIE CHRÉTIENNE. Platon était regardé par tous les Grecs d’Alexandrie comme le MAÎTRE DE LA SAGESSE, comme l’ INTERPRÈTE DE LA DIVINITÉ. Si les premiers chrétiens n’avaient pas embrassé les dogmes de Platon, ils n’auraient jamais eu aucun philosophe, aucun homme d’esprit dans leur parti. (…) Ce fut, dit-on, dans Timée et de Platon principalement que les Pères grecs s’instruisirent. » (Dictionnaire philosophique, Garnier,1878). Donc, les Pères de l’Église catholique étaient imbibés de la philosophie de Timée et de Platon. Ce dernier était regardé par les adorateurs des faux dieux grecs comme le maître de la sagesse. Les Pères de l’Église ont fait de celui-ci, un païen, l’interprète de la divinité chrétienne! C’est de l’apostasie à l’état pur. Tout au long de son histoire et jusqu’à nos jours, l’Église catholique n’a jamais cessé de puiser parmi les philosophes grecs sources de pensées païennes. « Soyez sur vos gardes : il se peut qu’il y ait quelqu’un qui vous entraînera comme sa proie au moyen de la philosophie et d’une vaine tromperie selon la tradition des hommes, selon les choses élémentaires du monde et non selon Christ » Colossiens 2:8. L’ACCOMPLISSEMENT D’UNE PROPHÉTIE Dans 2 Timothée 4:3-4 on peu lire, “Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine; mais, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l’oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables.” Un ouvrage daté de 2008, de plus de 160 pages de Stéphane Brossard-Pearson du Département d’histoire de l’Université de Montréal démontre indubitablement un fait établi que les fêtes chrétiennes ont une origine païenne. Un peu plus d’un siècle après, la mort des derniers apôtres des écrits de Tertullien (150 – 230 ) faisait le triste constat qu’un grand nombre de chrétiens désobéissants aux écrits bibliques trouvaient tout à fait permissible de se mêler aux païens. Tertullien déplorait que des chrétiens fêtent le solstice d’hiver et donnait des cadeaux ainsi que l’attirance à d’autres fêtes païennes. (Dé l’Idolâtrie chap. 14) L’étude montre qu’une politique papale vint à s’installer qui prônait la récupération du paganisme par la transformation de la fête d’une divinité locale païenne en chrétienne. L’auteur fait ce constat : « l’effort de récupération par l’Église des éléments païens à intégrer dans le culte chrétien va très loin, puisqu’ils proposent de récupérer les lieux, les dates, les coutumes culturelles et sociales et même les fonctions de ces rites. » Il ajoute aussi que « les fêtes chrétiennes furent fixées au même jour que des fêtes païennes. » Dans ces conditions, il n’est guère étonnant que la papauté ait récupéré le titre qui appartenait auparavant aux empereurs romains païens; « Pontificus Maximus ». L’auteur cite comme origines païennes le culte des reliques – l’utilisation des cierges – des processions – Noel – la fête de Jean Baptiste – chandelles allumées et de cierges bénis en l’honneur de Sainte-Marie mère de Dieu – la purification de la vierge – le culte et fête des Saints – veux de chastetés – l’observation superstitieuse de jours de jeûne – prières pour les morts – l’Épiphanie – le Nouvel An ainsi que bien d’autres. L’origine païenne de Noël était connue depuis longtemps. L’auteur note qu’au 17e siècle dans certaines colonies américaines des protestants cessèrent de fêter la Noël en raison de son origine païenne. L’auteur avoue ceci : « Il se dégage d’abord le constat, admis par tous, que l’origine païenne de certaines fêtes du calendrier chrétien est un fait historique indubitable. » Il est à noter que dans les évangiles les chrétiens étaient tenus de commémorer qu’un seul et unique événement, la mort du Christ. Toutes les autres célébrations annuelles sont forcément non bibliques.
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